Alors que Benjamin de Bodoï, notre insatisfait national, enfonce le clou en crachant dessus, les autres critiques de l'Amourir commencent à pointer le bout de leur nez... et elles sont plutôt encourageantes.
Vous pouvez donc lire ça ici & là des petites choses (ou dans le Zoo du mois de mai-juin). Pour les plus obstinés, il y a aussi une micro interview dans le Castermag.
Allez hop, moi je retourne au taff.