Depuis bientôt deux ans, je rêvais de travailler avec Lucas Varela. Ses différents albums m'avaient beaucoup touché (jusqu'au chef d'oeuvre qu'est Diagnostics). En plus, l'homme était du genre doux et franc à la fois. Et puis le hasard a fait que nous puissions réaliser ensemble une histoire courte. 7 pages (ça sera pour le prochain numéro de AAARG).
A l'heure où j'écris ces mots, Lucas n'a pas encore terminé. Mais je sais déjà qu'il a rendu mon récit plus beau, plus intelligent qu'il n'était. Et moi, je me prête déjà à rêver d'une collaboration qui dure. Tellement son trait et une évidence.