Tiens, j'avais oublié de faire mon compte-rendu du festival de Bassens. Alors hop, c'est parti.
1.Le voyage 5 (sur 5).
Voyage en deux temps. D'abord le train d'Angoulême à Bordeaux. Puis la voiture pour aller en banlieue, là où se trouve Bassens. En gros, une heure de train pour regarder un épisode de la dernière série télé à la mode puis la première rencontre avec le staff. A l'allée comme au retour, les bénévoles sont supers. Gentils, aimables et bienveillants.
Seul bémol, comme je n'avis pas reçu le mail, je ne savais pas où était le rendez-vous à la gare.
2. L'accueil 5 (sur 5).
Un sans faute. De la "prise en charge" à la gare au retour, tous les organisateurs sont là pour rendre le séjour agréable.
A l'arrivée sur les lieux de dédicaces, on reçoit même un "bon pour deux bds gratuites". Et on repart avec un petit sac rempli de cadeaux. Grande classe (le coup des 2 bds, ça devrait faire des émules !).
A quelques pas de l'endroit dédicace, il y a une petite salle de repos où les boisons et le miam sont gratuits...
3. L'hôtel 3,5 (sur 5).
L'hôtel est sur Bordeaux. Un Ibis. Donc, c'est propre (clinique), la literie est bonne... mais ça manque un peu de charme. Le quartier est un peu froid, lui aussi... Pas de quoi se dire qu'on va aller se faire une promenade.
4. Les repas 3 (sur 5).
Le samedi midi et le dimanche midi, c'est buffet. Comme le soir, ça sera copieux. Mais bon, c'est pas l'éclate pour les papilles ! Difficile de faire à manger pour autant de personne. Le vin est étrangement quelconque. Pour un pays du vin, on pouvait s'attendre à mieux.
Le samedi soir. Après un concert dessiné des plus sympas, on va manger au restaurant. Copieux mais pas génial (mais mieux que le midi). Pareil pour le vin. en revanche, le cocktail de bienvenu est assez dégueu...
L'ambiance est bonne (faut dire que les gens à table sont des potes). Dommage que la fête se termine dès la fin du repas. en même temps, vu la fatigue, je vais vite profiter de la literie !
5. Le lieu 4 (sur 5).
Là, je fais du copier coller : Bon, le truc classique mais embêtant : c'est dans un gymnase que se passe les dédicaces (là c'est un boulodrome). C'est assez "sans âme" mais bon enfant. Au moins, on a chaud.
Le petit plus est l'idée de donner leur pancarte aux auteurs. Le placement est libre ! Et en plus ça embête les collectionneurs qui ne peuvent pas faire la queue en avance.
6. Les rencontres 4,5 (sur 5).
Je suis venu en force ! Rica, Kieran et Joël Jurion étaient de la partie. De quoi faire pas mal de dédicaces (d'autant plus que j'ai aussi signé pas mal de Temudjin). Il y avait aussi pas mal de copains d'Angoulême. Bref, ça faisait très festival de copains.
En plus, il y a eu de très belles rencontres : Les trois génies Cécil, Jorge Gonzalez et Jeremy A. Bastian. et comme si ça ne se suffisait pas, Cromwell est venu en voisin faire un petit coucou !
Et bien évidemment, j'ai pas eu le temps d'aller parler avec tout le monde... Mais il y a eu tout de même des tranches de rigolades d'anthologies (merci à Marie Gloris pour le prix de l'humour de l’à-propos).
7. Le public 4,5 (sur 5).
Je rajoute ce point pour l'occasion. Dans l'ensemble, les gens sont agréables. Pas pressés, pas stressés. Là encore, il y a eu de belle rencontre. Peu de collectionneurs fous (et ça, ça fait du bien). Et cerise sur le gâteau, les gens achetaient plutôt les albums sur place.
Merci à Loïc Dauvillier pour ce weekend.
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