vendredi 20 juin 2014

Résumé du mois.


Bon, j'ai pas trop le temps de parler en ce moment. Mais tout avance ! Aujourd'hui, j'ai vu la dernière page de Klaw 4 (en n&b). Juste au moment on je mets au propre le 1/3 du tome 5. Kieran commence le 4ème chapitre de Golden Boy pour le Aaarg 6 !Antoine Carrion et Bruno Lachard peaufinent chacun la couv de leur album, Julia BaxLelis et Nadji continuent de tomber les storyboards et les planches... Et comme certains projets se terminent, j'en relance de nouveaux ! 
Si tout ça n'explique pas mon silence, je vois pas ce qui pourrait le faire !

mardi 10 juin 2014

On a marché sur la bulle [2014]



Retour à la maison. Amiens, c'était bien ! Troisième festival de l'année et troisième réussite ! A noter que j'ai participé aux rencontres scolaires durant toute la semaine avant le festival.


1.Le voyage 3.5 (sur 5).
Quitter une petite ville pour aller dans une autre petite ville, c'est un rien fatigant. Il faut donc 6 heures en moyenne pour rejoindre Amiens (avec un bout de chemin soit en TER soit en car). Heureusement, les gentils organisateurs ont fait en sorte que la partie TGV du parcours soit en première classe.

2. L'accueil 5 (sur 5).
Il n'est pas rare que les organisateurs soient des gens sympas et passionnés. Mais que toute l'équipe soit un regroupement d'individus aussi gentils, ça frise la perfection. 

3. L'hôtel 3 (sur 5).
L'hôtel sans âme, un rien vieillissant, pas très lumineux. Mais à vrai dire, quand on se couche à plus de minuit et qu'on se lève tôt, cette chambre est bien suffisante.

4. Les repas 4 (sur 5).
Bon, en une semaine, on a eu le droit à tout. Du superbe restaurant (le Quai) à la petite échoppe... Dans tous les cas de figure, c'était au moins conviviale et au mieux délicieux. Pour l'ambiance amicale on retiendra le barbecue, le duel de dessin au Grand Wazoo, et le dîner du samedi soir. 

5. Le lieu 4 (sur 5).
Je distinguerais deux choses. Les interventions scolaires et le festival.
Pour les interventions, la salle et grande et munie d'un écran. Je peux donc faire le grand jeu avec mon ordi. Je suis tout à fait admiratif du travail fait par les enseignants lors de la préparation à ces rencontres. Hormis un ou deux couacs, tout s'est déroulé le mieux possible.
Le festival. Alors là, point de vue exposition, il y a de quoi faire des jaloux. Surtout quand on sait que tout est fait en interne. En revanche, pour les dédicaces, on a vite super chaud ! 

6. Les rencontres 5 (sur 5).
Une fois n'est pas coutume, j'ai envie de mettre en avant les organisateurs et bénévoles. En une semaine, j'ai réussi à parler avec pas mal d'entre eux et ils sont vraiment sympas (big up à Pascal). C'est l'un des rares festivals où je reviendrais bien sans regarder la liste des collègues, pour avoir le plaisir de retrouver ceux qui nous accueillent ! Le libraire (Bulle en stock) est aussi à signaler (j'ai eu le plaisir d'aller dans sa librairie et ça fait plaisir de voir des gens soutenir la bd de cette façon. Il y avait d'ailleurs bien plus de stock qu'à la Fnac de la ville).
Après, il y a les collègues. Les locaux (Régis Hautière, Hardoc & David François), les retrouvailles (Christian DurieuxKris, Cécil, Dawid, Fumio Obata, Riff Reb's & Loïc Dauvillier), les "je te parle mais je ne t'ai jamais vu" (Mael, Benoît Féroumont, Stéphane Perger & Arnaud Floch), les surprises (Louise Joor, Augustin Lebon, Joris Chamblain, Denis Van P, Frédéric Maupomé & Mathilde Domeq), les "têtes d'affiches" (Mezières, Jo Sacco & Graig Thompson) et bien sûr Joel Jurion.
J'ai eu aussi le plaisir de rencontrer un couple merveilleux, organisateurs d'un autre festival. Des gens passionnants que j'aurais bien écouté plus longtemps... (ils se reconnaîtrons). 

7. Le public 5 (sur 5).
Que des gens formidables ! Y'avait même Jacques, le postier ! 
Notons aussi que les collégiens ont voté en masse pour que Klaw obtienne le prix des Collégiens Samariens

Conclusion
Je suis donc reparti avec le plein de souvenir et franche rigolade. Et une plaque de rue à mon nom ! Le hasard faisant bien les choses, j'ai eu un "square". Quand on sait que j'ai choisi mon speudo en référence à un square parisien du même nom, on peut imaginer le moment d'émotion ! 
Ceux qui m'avaient dit qu'il fallait que je fasse ce festival ne m'avaient pas trompé.