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lundi 10 novembre 2014

un festival sans "bulle" dans son nom...



Retour du festival d'Andenne (Belgique) organisé par l'asso "La grande Ourse" !

1.Le voyage 3 (sur 5).
Un parcours qui aurait pu être rapide et pas stressant...
Le voyage aller s'est plutôt bien passé. 5 heures pour arriver à Bruxelles où j'ai fait une "petite" halte pour voir les gens du Lombard (qui mérite une fois de plus le prix de l'accueil des auteurs) et mon pote Bruno Lachard. rien que pour ça, ça valait le coup. 
Puis pratiquement deux heures pour rejoindre Namur en voiture. Mais là encore, vu que j'ai fait le voyage avec Laurent Lefeuvre et Alain (l'un des organisateurs), ça passe vite et bien.
Le retour est bien plus stressant. Le train Bruxelles-Paris prend assez de retard pour que ça mette en péril ma correspondance (le dernier train pour rentrer chez moi). Du coup, j'ai le droit de faire du sprint dans le métro avec deux sacs et un carton à dessin... Ô joie. Je rentre dans le train juste à temps mais sans boisson ni nourriture... Et pour bien continuer, mon voisin est insupportable et la batterie de mon ordinateur tombe en rade...Bref, j'ai connu mieux.

2. L'accueil 5 (sur 5).
Je viens d'annoncer que c'tait les mecs de la grande Ourse qui organisaient. Ce qui veut dire des copains. Des mecs avec la main sur le coeur... Et pour bien faire, on complète l'accueil par un satellite de la grande ourse par la présence de Bernard...

3. L'hôtel 3 (sur 5).
Pas d'hôtel. Chambre chez l'habitant (mais pas n'importe lequel). On partage la chambre à quatre (Rica, Laurent, Mikkel et moi). Si l'ambiance auberge de jeunesse me dérange pas, l'accueil de Thierry et de sa "petite" famille était super sympa. Et puis, dormir, c'est pas le plus important dans un festival.

4. Les repas 4 (sur 5).
On se retrouve tous au restaurant sur Namur le vendredi soir. Là, il y a Kid Toussaint (qui ne sera pas là durant le festival). bon miam et bonne boisson... ça commence bien.
Le samedi et dimanche midi, c'est soupe et sandwich sur place. 
Le samedi soir (comme d'habitude), c'est repas de gala. Là encore, ça se passe sur place. Le "filet américain" est délicieux. La bière artisanale est à tomber... et une très belle ambiance.

5. Le lieu 3,5 (sur 5).
Comme souvent, le festival se passe dans un gymnase-salle des fêtes. C'est pas un lieu de folie mais au moins celui-là est bien chauffé et lumineux. Andenne fait parti des festival où les vendeurs d'occasion sont légion. Ici, essentiellement du classique Franco-belge. Et comme on est en Belgique, avec pas mal de nouveautés  à 50% du prix... (c'est le seul point noir de ce beau festival. Mais c'est pas bien grave).

6. Les rencontres 5 (sur 5).
Ce festival est particulier... D'abord parce que j'y retrouve Tony et les autres de la grande Ourse. On se connait depuis plusieurs années mais je n'étais jamais venu... rien que pour eux, ça vaut le coup de venir. Après, j'y retrouve des copains, Rica, Baloo, Etienne Simon, Hamo, Antoine Maurel... Puis, il y a ma première rencontre en live avec Mikkel Sommer. C'est toujours un peu bizarre d'avoir d'abord travaillé avec quelqu'un avant de connaitre son visage.
Il y a aussi les autres rencontres. Celle avec Chris Lamquet restera dans mon coeur. L'autre rencontre géniale, c'est celle avec Alessandro Poli.
Après, je vais sans doute en oublier pleins. Mais, je me suis bien marré avec Mauricet, Alexandre Tefenkgi, Laurent Lefeuvre et Benoît Bekaert... (désolé pour les autres).
7. Le public 5 (sur 5).
Il n'y avait pas foule mais des gens en continu... Et surtout un gamin du nom de Louis, fan de Klaw dont les mots pourront me remonter le moral en cas de besoin...

Conclusion
Super festival ! A refaire. C'est toujours un plaisir de faire un festival entre potes. Et une mention spéciale à Tony Larivière (qui a la plus belle boutique de BD de Belgique).



lundi 8 septembre 2014

Andenne me voici !


Certains rêvent d'aller à Saint Malo, Angoulême ou San Diego... Moi, dans ma short-liste, il y avait la fête de la BD d'Andenne. Et c'est cette année que j'y vais ! Pour parfaire le plaisir, j'y vais avec Rica et Mikkel Sommer (que je vais enfin rencontrer !!!).
En espérant vous y voir nombreux. La bise.

samedi 23 août 2014

mercredi 17 septembre 2014, 18h


Allez hop, on repart pour une nouvelle année. Et pour bien commencer, voici un petit rendez-vous qui me fait bien plaisir : La Cité de la Bande Dessinée d'Angoulême m'invite à sa carte blanche mensuelle. toutes les infos ici.

mardi 10 juin 2014

On a marché sur la bulle [2014]



Retour à la maison. Amiens, c'était bien ! Troisième festival de l'année et troisième réussite ! A noter que j'ai participé aux rencontres scolaires durant toute la semaine avant le festival.


1.Le voyage 3.5 (sur 5).
Quitter une petite ville pour aller dans une autre petite ville, c'est un rien fatigant. Il faut donc 6 heures en moyenne pour rejoindre Amiens (avec un bout de chemin soit en TER soit en car). Heureusement, les gentils organisateurs ont fait en sorte que la partie TGV du parcours soit en première classe.

2. L'accueil 5 (sur 5).
Il n'est pas rare que les organisateurs soient des gens sympas et passionnés. Mais que toute l'équipe soit un regroupement d'individus aussi gentils, ça frise la perfection. 

3. L'hôtel 3 (sur 5).
L'hôtel sans âme, un rien vieillissant, pas très lumineux. Mais à vrai dire, quand on se couche à plus de minuit et qu'on se lève tôt, cette chambre est bien suffisante.

4. Les repas 4 (sur 5).
Bon, en une semaine, on a eu le droit à tout. Du superbe restaurant (le Quai) à la petite échoppe... Dans tous les cas de figure, c'était au moins conviviale et au mieux délicieux. Pour l'ambiance amicale on retiendra le barbecue, le duel de dessin au Grand Wazoo, et le dîner du samedi soir. 

5. Le lieu 4 (sur 5).
Je distinguerais deux choses. Les interventions scolaires et le festival.
Pour les interventions, la salle et grande et munie d'un écran. Je peux donc faire le grand jeu avec mon ordi. Je suis tout à fait admiratif du travail fait par les enseignants lors de la préparation à ces rencontres. Hormis un ou deux couacs, tout s'est déroulé le mieux possible.
Le festival. Alors là, point de vue exposition, il y a de quoi faire des jaloux. Surtout quand on sait que tout est fait en interne. En revanche, pour les dédicaces, on a vite super chaud ! 

6. Les rencontres 5 (sur 5).
Une fois n'est pas coutume, j'ai envie de mettre en avant les organisateurs et bénévoles. En une semaine, j'ai réussi à parler avec pas mal d'entre eux et ils sont vraiment sympas (big up à Pascal). C'est l'un des rares festivals où je reviendrais bien sans regarder la liste des collègues, pour avoir le plaisir de retrouver ceux qui nous accueillent ! Le libraire (Bulle en stock) est aussi à signaler (j'ai eu le plaisir d'aller dans sa librairie et ça fait plaisir de voir des gens soutenir la bd de cette façon. Il y avait d'ailleurs bien plus de stock qu'à la Fnac de la ville).
Après, il y a les collègues. Les locaux (Régis Hautière, Hardoc & David François), les retrouvailles (Christian DurieuxKris, Cécil, Dawid, Fumio Obata, Riff Reb's & Loïc Dauvillier), les "je te parle mais je ne t'ai jamais vu" (Mael, Benoît Féroumont, Stéphane Perger & Arnaud Floch), les surprises (Louise Joor, Augustin Lebon, Joris Chamblain, Denis Van P, Frédéric Maupomé & Mathilde Domeq), les "têtes d'affiches" (Mezières, Jo Sacco & Graig Thompson) et bien sûr Joel Jurion.
J'ai eu aussi le plaisir de rencontrer un couple merveilleux, organisateurs d'un autre festival. Des gens passionnants que j'aurais bien écouté plus longtemps... (ils se reconnaîtrons). 

7. Le public 5 (sur 5).
Que des gens formidables ! Y'avait même Jacques, le postier ! 
Notons aussi que les collégiens ont voté en masse pour que Klaw obtienne le prix des Collégiens Samariens

Conclusion
Je suis donc reparti avec le plein de souvenir et franche rigolade. Et une plaque de rue à mon nom ! Le hasard faisant bien les choses, j'ai eu un "square". Quand on sait que j'ai choisi mon speudo en référence à un square parisien du même nom, on peut imaginer le moment d'émotion ! 
Ceux qui m'avaient dit qu'il fallait que je fasse ce festival ne m'avaient pas trompé.

mardi 20 mai 2014

JORNADAS COMIQUERAS BARCELONA



Retour du festival de Barcelone. Voici le compte rendu :

1.Le voyage 2 (sur 5).
C'est le seul point noir de ce festival. Le voyage a duré 10H à l'aller comme au retour. Train, puis trajet jusqu'à l'aéroport, puis attente, attente... et attente avant de prendre l'avion. Ce n'est pas la faute des organisateurs mais ça vous coupe les jambes à coup sûr.
Ceci dit, ça s'est plutôt bien passé.

2. L'accueil 5 (sur 5).
Un sans faute. je dirais même le meilleur festival que j'ai fait (ou presque). Les organisateurs sont des plus sympas et ils ont eu l'art d'associer les invités. 

3. L'hôtel 4,5 (sur 5).
L'hôtel est à 30 - 40 minutes des lieux de dédicaces. Ailleurs, ça serait un problème, ici, c'est un plaisir de pouvoir marcher dans Barcelone.  L’hôtel en lui-même est moderne, propre et avec une super literie. 

4. Les repas 5 (sur 5).
Vendredi soir, après une séance de dédicace à la Fnac, on se retrouve dans un restaurant du centre ville. Le cadre met en confiance... Et le repas est des meilleurs (des tapas à n'en plus finir). Très bonne soirée.

Samedi midi. Déjeuner en dehors du festival avec les gens du Lombard (oui, c'est un peu étrange d'aller en Espagne pour voir son éditeur mais c'est comme ça et tant mieux). Restaurant à Tapas ne more time. Pas de quoi se plaindre. Le miam est bon, l'ambiance sympa et la sangria rafraîchissante (en terrasse).  

Le samedi soir. Restauration à l’hôtel. On mange bien (spécialités) et le vin (local, lui aussi) est délicieux. Il faut donc aller jusqu'en Espagne pour boire un vin digne de ce nom en festival ! Dingue. Le digestif est classieux aussi.

Les afters. Vendredi et samedi soir, après les repas, plusieurs auteurs décident d'aller boire un verre après les repas, dans un petit bar pas loin de l'hôtel. Whiskys et alcool aux herbes pour moi. L'endroit ne paye pas de mine mais devient vite chaleureux. et les conversations du moment favorisent ce ressenti. 

5. Le lieu 5 (sur 5).
Deux endroits pour ces journées du "comics". Car même si cela se passe pendant le salon du comics (32ème édition), nous sommes invités par les Jornadas comiqueras (10 ème édition). Ces journées permettant d'avoir des tables rondes et des rencontres avec le public. Les dédicaces n'étant qu'une partie de leurs actions.
Le vendredi je commence donc par une séance de dédicace à la Fnac de Barcelone. En même temps que 80 autres personnes ! Pour ma part, je me retrouve dans le rayon "hard-rock". L'événement en lui-même est impressionnant. 
Le samedi, les dédicaces se déroulent dans le salon à proprement parler. Un bâtiment en dur gigantesque. C'est beaucoup plus festif qu'en France. Et ça devrait donner des idées aux organisateurs de très grands salons de notre hexagone.
Mon seul regret est de ne pas avoir pu participer aux tables rondes. Mais promis, la prochaine fois, je le fais.

6. Les rencontres 5 (sur 5).
Je suis venu tout seul puisque un imprévu à obligé Antoine Carrion à renoncer au dernier moment. Mais les rencontres amicales étaient au rendez-vous. J'y ai fait la connaissance de gens des plus fantastiques tels que les époux Charles, Olivier Vatine, Olivier Sztejnfater, Cosey, Jean-Yves Mitton, David Prud'homme, Mathieu Blanchin et Michel Rabagliati (certains auteurs venant avec leurs compagnes, je ne les oublie pas. elles ont étaient de tous les moments dans le déroulement magique de ces rencontres).
En dehors de notre cercle, j'ai pu rencontrer pour de vrai le grand et magnifique ThaEduard Torrents, Danide, Martin Pardo, José Luis Agreda et Eduardo Risso. J'ai même entre aperçu David Rubin et Roger Ibanez... 
Donc, si je suis ravi de toutes ces rencontres, le goût de trop peu est tout de même présent. Ceci dit, le fait de pouvoir mettre un visage, un accent et une gestuelle sur un nom va permettre de pouvoir continuer à se parler via le web.
Et à part les auteurs, j'ai rencontré des gens fort sympathiques qui sont mes éditeurs en Espagne. Oscar, Sandro, Carlos & Ricardo. Quatre personnalités et quatre sourires. 

7. Le public 5 (sur 5).
Là, il va être difficile de trouver des gens pour faire aussi fort que ce public ! Des gens chaleureux qui te parlent, te remercient et te disent au revoir en te serrant la main. Un vrai bonheur (c'est un peu autre chose que les chasseurs de dédicaces - même si on en a toujours un ou deux).

8. Les expos 5 (sur5).
Allez, je rajoute un nouveau point : les expositions. Quel bonheur d'avoir pu voir des originaux de tous ces auteurs espagnols ! J'en ai encore plein les yeux. Big up spécial à Miguelanxo Prado, Oriol & Manfred Sommer ! C'est la classe absolue.


Conclusion
Bref, un bonheur total dans une très belle ville. Des moments d’anthologies. Des souvenirs en pagaille. et une envie de refaire ça tous les ans (pour profiter de tout ce que l'on a pas eu le temps de faire mais aussi retrouver certaines personnes... Comme l'organisateur de cette folie, Rafael!).

vendredi 4 avril 2014

Des bulles dans du Bordeaux?


Tiens, j'avais oublié de faire mon compte-rendu du festival de Bassens. Alors hop, c'est parti.

1.Le voyage 5 (sur 5).
Voyage en deux temps. D'abord le train d'Angoulême à Bordeaux. Puis la voiture pour aller en banlieue, là où se trouve Bassens. En gros, une heure de train pour regarder un épisode de la dernière série télé à la mode puis la première rencontre avec le staff. A l'allée comme au retour, les bénévoles sont supers. Gentils, aimables et bienveillants. 
Seul bémol, comme je n'avis pas reçu le mail, je ne savais pas où était le rendez-vous à la gare. 

2. L'accueil 5 (sur 5).
Un sans faute. De la "prise en charge" à la gare au retour, tous les organisateurs sont là pour rendre le séjour agréable. 
A l'arrivée sur les lieux de dédicaces, on reçoit même un "bon pour deux bds gratuites". Et on repart avec un petit sac rempli de cadeaux. Grande classe (le coup des 2 bds, ça devrait faire des émules !).
A quelques pas de l'endroit dédicace, il y a une petite salle de repos où les boisons et le miam sont gratuits...

3. L'hôtel 3,5 (sur 5).
L'hôtel est sur Bordeaux. Un Ibis. Donc, c'est propre (clinique), la literie est bonne... mais ça manque un peu de charme. Le quartier est un peu froid, lui aussi... Pas de quoi se dire qu'on va aller se faire une promenade.

4. Les repas 3 (sur 5).
Le samedi midi et le dimanche midi, c'est buffet. Comme le soir, ça sera copieux. Mais bon, c'est pas l'éclate pour les papilles ! Difficile de faire à manger pour autant de personne. Le vin est étrangement quelconque. Pour un pays du vin, on pouvait s'attendre à mieux.

Le samedi soir. Après un concert dessiné des plus sympas, on va manger au restaurant. Copieux mais pas génial (mais mieux que le midi). Pareil pour le vin. en revanche, le cocktail de bienvenu est assez dégueu... 
L'ambiance est bonne (faut dire que les gens à table sont des potes). Dommage que la fête se termine dès la fin du repas. en même temps, vu la fatigue, je vais vite profiter de la literie !

5. Le lieu 4 (sur 5).
Là, je fais du copier coller : Bon, le truc classique mais embêtant : c'est dans un gymnase que se passe les dédicaces (là c'est un boulodrome). C'est assez "sans âme" mais bon enfant. Au moins, on a chaud. 
Le petit plus est l'idée de donner leur pancarte aux auteurs. Le placement est libre ! Et en plus ça embête les collectionneurs qui ne peuvent pas faire la queue en avance.

6. Les rencontres 4,5 (sur 5).
Je suis venu en force ! Rica, Kieran et Joël Jurion étaient de la partie. De quoi faire pas mal de dédicaces (d'autant plus que j'ai aussi signé pas mal de Temudjin). Il y avait aussi pas mal de copains d'Angoulême. Bref, ça faisait très festival de copains.
En plus, il y a eu de très belles rencontres : Les trois génies CécilJorge Gonzalez et Jeremy A. Bastian. et comme si ça ne se suffisait pas, Cromwell est venu en voisin faire un petit coucou !
Et bien évidemment, j'ai pas eu le temps d'aller parler avec tout le monde... Mais il y a eu tout de même des tranches de rigolades d'anthologies (merci à Marie Gloris pour le prix de l'humour de l’à-propos). 

7. Le public 4,5 (sur 5).
Je rajoute ce point pour l'occasion. Dans l'ensemble, les gens sont agréables. Pas pressés, pas stressés. Là encore, il y a eu de belle rencontre. Peu de collectionneurs fous (et ça, ça fait du bien). Et cerise sur le gâteau, les gens achetaient plutôt les albums sur place.

Merci à Loïc Dauvillier pour ce weekend.

jeudi 27 mars 2014

Amiens, toutes griffes dehors !


C'est avec un immense plaisir que je vous annonce que Klaw a gagné le prix des collégiens samariens ! Nous fêterons ça, comme il se doit, avec le pote Joel Jurion durant le festival d'Amiens (dont l'affiche est faite par l'immense Riff Reb's), en juin prochain.
D'ici là, merci à tous les votants et les lecteurs.

Pour plus d'info, faut aller .

lundi 10 mars 2014

Barcelona !


J'ai l'immense plaisir d'être invité au festival de Barcelone en mai de cette année (j'y serai à partir du vendredi 16). Mister Antoine Carrion sera du voyage. Nous pourrons fêter dignement la sortie de nos albums Le chant des sabres, L'amourir et L'ombre blanche (en intégrale) en version espagnole... Youpi !!!

Toutes les informations, ici !

jeudi 20 février 2014

Bulles !



Juste avant de faire des blagues au premier avril, Rica, Joël Jurion, Kieran et moi-même, nous nous regroupons pour faire atelier "blagounettes" et aussi des dédicaces pendant le beau salon de Bassens... 
En espérant, vous y voir nombreux ! 

Un petit programme est visible .

mardi 4 février 2014

De l'art de perdre sa voix (et autres histoires)



Allez hop, c'est parti pour le compte rendu du marathon du FIBD 2014 !

Donc, dès le démarrage le mardi, je tombe malade, c'est plus cool pour aller jusqu'au dimanche !
Je fais une petite intervention à la Cité pour les bibliothèque qui me permet de rencontrer Ninie (la dessinatrice de Cruelle Joëlle).
Le lendemain, mercredi, première soirée Lombard (vin très bon et cadre magnifique). J'y retrouve mon pote Joël Jurion (que l'on pourra aussi appeler Cruel Joël avec son gimmick "sd"). L'équipe du Lombard est en pleine forme et toujours aussi sympathique ! Après le repas, on termine la soirée avec plusieurs libraires dont mes chouchous de Bullivores, HislerBD et d'Expérience !
Les choses se corsent le jeudi. On commence (tôt) par une intervention pour les jeunes lecteurs mais rien n'est vraiment organisé. Le two-man-show durent quand même 1H30 ! En free style. Puis on enchaîne avec des interviews (j'en ferais 15 jusqu'au dimanche) et des dédicaces. On continue sur des dédicaces (mais j'arrive pas à me dédoubler donc je laisse mon poto Rica seul sur le stand Casterman). Le soir, on mange avec les lauréats du concours Caisse d'Epargne. Ce n'est que vers minuit que je retrouve les potes dont Kieran et Bernard (je nomme pas tout le monde, ça va faire name-dropping de malade).
A partir de là, ça devient très mauvais pour ma voix. Je commence à ne plus savoir où et quand j'ai vu Cromwell, Riff Reb's et Julien Loïs (mon top 3 de mes rencontres). Je mets même des visages sur des noms comme Inaket, Lucas Valera ou Marin Zeller (autre top 3)... et j'arrive à parler avec Prado et Kaneko !
Bon, sinon, grosse déception, malgré nos prises de rendez-vous, je loupe Roger Ibanez, Mathieu Barthélémy et Yannick Lejeune (maudit top 3). Va falloir se rattraper !
Merci à mister Pastor, Grazzia La Padula, Joël Alessandra, Robert Valley, Cromwell et Thomy Von Kummant pour leur BD ! Merci à Kieran pour les pages, Rica pour le Dr Pepper et Bernard pour les sketchbooks.
Et tant qu'à faire, merci aussi à tout le monde chez Lombard (vous êtes tous beaux et intelligents), à ceux de Casterman (spéciale dédicace à Didier & Wladimir... mais pas que), de Aaarg (vous êtes moins beaux mais c'est pas grave), de Soleil - Delcourt (à toi mon cher Jean) et de Glénat (enfin à Cédric et Benoît parce que j'ai pas vu les autres)... 
Et merci à tous les autres pour leurs doux mots d'encouragement...

L'année prochaine, je la jouerais moins speed. Mais vivement 2015 !

mardi 21 janvier 2014

Demandez le programme !


Cette année, le festival d'Angoulême va être riche en événements. Il va falloir faire la promo de Klaw (éditions Lombard) avec Joël Jurion, de ma nouveauté Succombe qui doit (KSTR) avec Rica et du numéro 2 de Aaarg! où le lecteur retrouvera une histoire de ma pomme dessinée par Kieran... 

Je commence le mardi avec une rencontre avec les bibliothécaires à la cité de la BD...
Jeudi sera une petite journée marathon spéciale Klaw. Rencontre avec le public, puis avec les lecteurs de Mickey... Dédicace dans l'après-midi, soirée de remise des prix et d'ouverture... Et dîner dans la foulée...
Le vendredi dédicace en matinée (sur le stand Lombard) ainsi que le samedi matin et après-midi sauf pendant mon intervention pendant le débat ReLire avec le Snac. et le dimanche matin (stand Casterman).
Le vendredi et samedi, en fin de journée (après 19H), je participerai à la folie Arrrgueste au Karma (en face des bulles du champ de mars).

Par ailleurs, vous pourrez me retrouver au Mercure en toute fin de soirée...
Youpi !


Attention, ceux qui auront le courage de crier (très fort et à la cantonade) un mot gentil à mon égard pendant l'une de mes dédicaces (ou au Mercure) se verront remettre un cadeau inédit (carte postale, badge... voir même une bd si la gentillesse est très gentille et très intelligible). 


mardi 22 octobre 2013

Du canard et des bulles...

Me voilà de retour du salon de Bassillac.
Du coup, voici un petit compte-rendu (objectif) :


1.Le voyage 5 (sur 5).
Bassillac, c'est tout près de Périgueux. Donc pas si loin de chez moi. A l'aller, je fais le voyage avec mon pote Franck Biancarelli et un chauffeur de prestige. Une heure et demi de voiture où on refait l'historique du festival d'Angoulême... Mise en bouche sympa.
Au retour, je reviens avec des angoumoisins rencontrés pendant le festival (Cécile et Hervé). On va plus vite grâce à un raccourci et l'ambiance est des plus sympas. En gros, j'ai plus l'impression d'avoir parlé avec des copains plutôt que voyager. Et c'est tant mieux.

2. L'accueil 6 (sur 5).
Bon, ce n'est pas la première fois que je viens. Donc si je suis de retour, c'est que l'accueil est bon. J'ai plus l'impression de revoir des potes qu'autre chose. 
J'en profite pour creuser un peu plus les relations avec les deux libraires qui se partagent le salon. et peu importe ceux qui s'occupent de nous. Les deux sont pros, sympas et plein de bonnes intentions.

3. L'hôtel 4,5 (sur 5).
Je loge à L'écluse. Un endroit un peu vieillot mais du coup plein de charme. Même hors festival, c'est exactement le genre d''endroit où j'irai bien volontiers. Dommage que tous les auteurs ne soient pas logés là...

4. Les repas 4,5(sur 5).
Le samedi midi et le dimanche midi, c'est buffet. C'est toujours bizarre car soit on mange trop, soit pas assez et surtout pas facile d'équilibrer. Mais c'est plutôt de ma faute. Le miam est bon et les bulots sont frais ! Le vin est moyen mais ça me va très bien : j'en prends pas ! Très sympa.

Le samedi soir. Le bon moment du festival ! Du canard sous toutes ses formes. Le vin est super (surtout le second). L'ambiance est mémorable (mais si un peu assourdissante au départ ! merci David) et on a le droit à un petit panier garni pour chaque auteur présent ! De quoi prolonger l'amour du canard !
La fête continu à l'hôtel...

5. Le lieu 4 (sur 5).
Bon, le truc classique mais embêtant : c'est dans un gymnase que se passe les dédicaces. C'est assez "sans âme" mais bon enfant. Mon regret est de ne pas avoir eu le courage d'aller me balader avant manger car la campagne est vraiment superbe.

6. Les rencontres 4,5 (sur 5).
Beaucoup de retrouvailles (Rica, Kieran, Gihef, Biancarelli, Wasterlain), des rencontres merveilleuses et inattendues (Cécile Chicault et Hervé Pauvert, Tito) et des premières fois en live après beaucoup de blablas numériques (Morja, Brice Cossu et Alexis Sentenac). La grande classe et l'impression de ne pas avoir assez de temps avec tout le monde.

7.Fréquentation (et livres signés). 5 (sur 5).
L'entrée n'était pas gratuite. Mais cela n'a pas arrêté grand monde ! C'est bien simple, je n'ai pas arrêté trente secondes. J'ai arrêté de compter après 80 bouquins (en deux jours). Ouf ! Les libraires étaient contents, les organisateurs aussi et moi de même ! 
Un petit moment de bonheur est de voir l'âge du public pour Klaw. Enfin, des gamins en face de moi !

Conclusion.
Bon, très grosse poilade + bonne bouffe + beaucoup de public = j'ai bien fais de venir. Pour pas lasser les gens, je passerai mon tour l'année prochaine mais je compte bien revenir vite fait ! Longue vie à Bassillac !
Et merci aux organisateurs !

jeudi 12 septembre 2013

Invasion de la Belgique !


Temudjin, en grand conquérant qu'il est, envahira la Belgique (pour trois jours) fin octobre !
Retrouvez nous (Antoine Carrion et moi) pour les dédicaces suivantes :
- Le jeudi 31 octobre au Skull à Bruxelles (dont j'ai pu voir de mes petits yeux l'anniversaire des 20 ans...ce qui va rajeunir personne).
- Le vendredi 1er novembre au Lotus Noire, à Bruxelles itou.
- Le samedi 2 novembre à BDscope, à Liège.

Pour fêter ça, un bout de planche tiré du tome 2 !


lundi 2 septembre 2013

Retour aux pays du canard !



En ce premier jour de cette nouvelle année (scolaire), c'est l'heure de faire le planning pour les mois à venir...
Je suis donc très content d'annoncer que je serais au festival de Bassillac le 19 et 20 octobre en compagnie de Rica (entre autres). Youpi !

Plus d'info, ici.

lundi 27 mai 2013

Des dunes et des bulles...


Et hop, me voilà de retour du festival de La Teste de Buch... Reprenant le principe mis en place par Eric Arnoux, je vous fais un compte rendu par le détail :

Donc, le festival s'est déroulé pendant le weekend dernier. J'y étais avec Antoine Carrion pour défendre L'ombre Blanche et Temudjin.

1.Le voyage 4,5 (sur 5).
Le voyage se passe en deux temps : une partie TGV jusqu'à Bordeaux et une partie tortillard jusqu'à La Teste. Voyage sans trop de problème (pas de retard, pas trop d'attente entre les deux trains). Le retour est pareil. Comme les billets sont pris via une agence, il faut imprimer. Pour les billets "électroniques", il faut que le nom indiqué sur le billet soit le même que sur votre carte d'identité ! Oui mais Ozanam est un pseudo. Le dialogue avec le contrôleur fait passer le temps.

2. L'accueil 2,5 (sur 5).
Il faut distinguer deux accueils différents. D'une part la librairie (chouette contact, belles conversations) et d'autre part les organisateurs. là, c'est un peu froid. Pas franchement mauvais mais sans âme. Si les organisateurs parlent, c'est de leur ville et ô combien certains artistes sont chiants. Pas beaucoup d'intérêt pour nous. Normal, c'est la libraire qui a choisi de nous inviter. eux ne nous connaissent pas.
Dès notre arrivée, on nous donne une petite enveloppe comprenant les tickets repas (qu'on nous demandera avec plus ou moins d'élégance suivant les endroits de restauration). 
Il n'y a pas de ticket pour les boissons (ouf) mais c'est pas pour ça qu'il n'est pas difficile d'avoir un coca !

3. L'hôtel 4 (sur 5).
C'est le gros point fort du festival. Un hôtel grand luxe au design bizarre. Bonne literie et hygiène parfaite. La température est bonne. tout pourrait être parfait si ce n'est que l'hôtel est perdu dans une zone industrielle (faut oublier la vue). Du coup, dès que l'on veut bouger, on doit le faire via une navette des organisateurs.
Sinon, il y a bien une piscine (découverte) et un spa (payant). Pas essayés.

4. Les repas 2(sur 5).
"2" et encore ! Le vendredi soir, il y a un apéro de bienvenue suivi d'un repas à l'hôtel. Si l'apéro est bref et sans âme, on pouvait s'attendre à bien manger. L'hôtel étant un 4 étoiles. Mais en fait non. On mange tiède. Autant pour les saveurs que pour la chaleur. Et le dessert est du niveau d'une cantine d'école ! Bref, il n'y a que le vin rouge qui soit pas trop mal.
Le samedi midi, on mange sous une tente ouverte (on mange par petit groupe pour qu'il y ait toujours des auteurs en dédicaces). Pas bête au mois de mais; sauf qu'il caille ! Déjà qu'on sent bien le vent sous le chapiteau... Les gens qui servent sont au service minimum (le sourire est un supplément). La bouffe est infecte et les portions riquiqui (à la limite puisque c'est infecte, c'est pas très grave). On a le droit à un verre de vin par personne (si on demande plus, on a le droit à la grimace). Pas d'eau pétillante ou autre boisson. 
Le samedi soir. Généralement, c'est le repas le plus sympa. C'est aussi le cas cette fois-ci. L'endroit est charmant (à quelques mètres de la mer), l'apéro est super réussi (plein de petit truc à manger et de bonnes choses à boire). On a même le choix entre plusieurs plats ! Un petit bémol : le vin est imbuvable. Il colle au dent. en même temps, vu l'ambiance, c'est vraiment pas grave. et enfin, on mange autre chose que des pates !!!!
Le dimanche midi. On est de retour sous la tente. Il fait toujours aussi froid, la patronne toujours aussi contente de nous recevoir et sa bouffe toujours aussi... dégueu !

5. Le lieu 3,5 (sur 5).
Il y a un petit air de "pas vu, pas pris". en fait, à part le chapiteau de la place de la mairie et l'hôtel, je serais bien embêté pour parler de ce lieu. Mais à travers la vitre de la voiture, ça a l'air assez sympa. Sans doute idéal pour se faire une petite promenade. 

6. Les rencontres 4,5 (sur 5).
Dans chaque festival, on tombe forcément sur quelqu'un qu'on ne connaissait pas et avec qui le courant passe. Donc grosse poilade avec Sebastien Vassant, El Dudo (et sa moitié), Florent Bossard, Charb et le garde du corps de Charb; une belle leçon de vie avec Daniel Ceppi; et de belles discutions avec Patrick Prugne, Jean Barbaud et sa femme...

7.Fréquentation (et livres signés). 3,5 (sur 5).
L'entrée était gratuite. Si la libraire a l'air contente (bonnes ventes), on l'est un peu moins. Certes, on a pas arrêté mais sans plus (ça a permis à Antoine de faire de superbes dédicaces). Pas de file de folie (pour nous ou pour d'autres). Beaucoup de "spécialistes" qui venaient de Bordeaux ou même Toulouse. Pour eux, aucune vente n'a été faite sur place. Ils venaient avec leur tirage spécial canal BD (pas dispo sur le salon). A deux trois exceptions près, pas de belles conversations avec les lecteurs trop pressés d'aller voir la table d'à coté.

Conclusion.
Bon, c'est pas la cata mais c'est loin d'être un coup de coeur. Le point positif, c'est que c'est un festival qui invite les scénaristes ! Il devait y en avoir environ 5 sur la trentaine d'autres invités. Pour le reste, je pense que la "jeunesse" du festival y est pour beaucoup (ce n'était que la 5ème édition). On sentait bien qu'ils se cherchaient encore (notamment pour la restauration). Et pour la météo, même si ce n'était pas de leur fait, c'est vrai que ça a joué en leur défaveur. 
Bref, pas sûr que j'y retourne. 



lundi 13 mai 2013

Univers cité BD 2013.


Et hop, un nouveau rendez-vous ! Cette fois-ci près de chez moi... Je participe donc pour la première fois en tant qu'intervenant à l'université d'été de la BD en compagnie, en autre, de Loïc DauvillierFrançois Ayroles et Fabien Vehlmann. Si c'est aussi bien qu'en tant qu'auditeur, ça sera super. Le sujet cette année, c'est "Quels lecteurs, quelles lectures?". Et ma partie "Quelle lecture nous propose un auteur ?"
Va falloir arrêter de dire des bêtises !

Au plaisir de voir y voir.

Pour plus d'info, vous pouvez aller voir la page de la citéBD.

jeudi 21 mars 2013

Nouveau rendez-vous...


Allez hop, l'Antoine Carrion et moi même inaugurons notre tour de France pour une série de dédicaces par le festival de La Teste de Buch... et comble du bonheur, on pourra dédicacer l'Ombre Blanche ET Temujin, qui viendra tout juste de sortir. 

mardi 5 février 2013

Je mapel antoine é je sui genti...


Voilà. Ma fête de quartier vient de terminer. L'occasion de voir plein de monde et de trouver des petites pépites...
Cela commence par le jeudi matin par une intervention à la Cité de la BD (voir ancien message) avec mister Kris (très chouette remplaçant à JDM qui n'a pas pu être là). Après ça va très vite. Les rendez-vous s’enchaînent, les rencontres surprises tombent et les copains surgissent.
Du coup, merci à tous d'avoir été là. Même si on s'est pas beaucoup vu, j'ai été très content de voir : Reynold Leclerc, Joël Alessandra, Hervé Langlois, Didier Borg, Kid Toussaint, Antoine Maurel, Gauthier Van Meerbeeck, Yann Lepelletier, Juan Bernardo Munoz (1), Davi Calil (2), Amanda Grazini (3), Julia Bax (4), Michael Meier (5), Amilcar Pinna (6), Lorenzo Chiavini (7), Giuseppe Liotti (8), Mathieu Barthelemy (9), Antonio Cossu, Hamo, Gihef, Mathieu Mariolle, Fred Bremaud, Marc Lizano, Frédéric Bihel (merci pour cette conversation littéraire), Christine Cam, Vincent Petit, Didier Pasamonik, Eric Derian, Delphine Rieu, Gilles Aris, Hervé Richez, Daniel Maghen, Rafael Coutinho, Terreur Graphique, Stéphane Fert Ilun, Pierrick Starsky, Alexis Horellou, Benoît Cousin, Cédric Illand, Patrick Hourcade, Benoît Frippiat, Maroin Eluasti, Bernard Moureau et les gars de la Grande Ourse, Roberto Ricci (vraiment trop rapide), Angus et mister Lematou...
Bon,O.K., j'en oublie...


Sinon, j'ai quand même eu le temps de faire quelques expos, notamment Celle de Comès (superbe) et de la boite à Gand (bravo aux deux Brecht !) et d'acheter trois albums (Le Gasby, qui est vraiment magnifique, le nouveau Vianello, Dick Turpin et la première intégrale de Steve Canyon). le reste des albums sont des cadeaux (merci donc à Julia & Amanda, Michael, Terreur Graphique, Rafael, Amilcar, Davi et Bernard & Seb -pour le Alec Severin). Mention spécial à Davi et Lematou pour vos originaux !

Bref, un bon festival. Plein de bons souvenirs et de chouettes promesses...

mercredi 21 novembre 2012

L'art de parler de soi.


Allez hop, c'est officiel ! Donc je suis au programme du stage pour les bibliothécaires de la Cité pendant le 40 ème festival BD d'Angoulême, en janvier prochain. J'y parlerai de mon doux métier avec notre Jean-David Morvan (que le monde entier nous envie) et le fort sympathique sébastien Bollut.
Cela sera ma seule activité officielle pendant le festival, vu que mes nouveautés arriveront plus tard dans l'année... (ceci dit, ça m’empêchera pas d'y faire plein d'autres choses).


lundi 22 octobre 2012

Retour de Bassillac.


Il y a deux ans, le Kieran m'avait dit "la prochaine fois, faut que tu viennes à Bassillac". Il avait bien raison !
L'accueil est pour le moins des plus chaleureux. La bouffe y est pas mal du tout (surtout si vous aimez le canard), et la boisson remplie bien son office. Quant'à l’hôtel, ça change du Novotel ! (Bon, c'est pas mal les Novotel, c'est propre et tout mais ça manque de caractère). 

Après, un bon festival se doit d'être riche en rencontre... Et là aussi, c'est plutôt la bonne pioche. D'abord, il y a eu le voyage avec Delphine Rieu et les retrouvailles avec Philippe Zytka et Kieran. Puis les nouvelles têtes... Vincent vanoliJoël Alessandra, Paolo Bacilieri (ça fait toujours bizarre de connaitre quelqu'un dont on aime le dessin depuis 20 ans) et Giuseppe Liotti. Sinon, il y a aussi Tic et Tac... 

Bref, amis auteurs, c'est à mon tour de le dire : la prochaine fois, faut que tu viennes !