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lundi 27 juillet 2015

Willie Gillis


Le ménage de disque dur (du bien nommé "rotten dog"), c'est toujours le moyen de retomber sur un projet abandonné, presque oublié. Hier, j'ai retrouvé des visuels de Willie Gillis, histoire inventée vers 2004-2005 avec Philippe Hooge au dessin. Outre le clin d'oeil appuyé à Norman Rockwell (qui avait inventé un perso du même nom) et à "l'american way of life", cette histoire parlait d'un gamin des rues confronté à la vie à la campagne, aux héros de guerre qui peuvent ne pas l'être complètement et à l’homosexualité dans une Amérique catho et bien pensante de l'après guerre...  Bizarrement, je pourrais réécrire cette histoire maintenant. Tous les thèmes me donnant encore envie aujourd'hui. Le récit serait juste un peu plus pro et riche. 
Pour la petite histoire, Philippe n'est jamais allé plus loin que la première page couleur (et la seconde en noir & blanc). Et cela malgré les encouragements des éditeurs. C'est bien dommage. Je suis encore persuadé que cela aurait été un tournant professionnel pour nous deux.

Allez, on sèche ces larmes et on remonte en selle ! 

lundi 2 décembre 2013

Tombés de camion (part 3 et fin).


Allez, un petit dernier, juste pour me venter : UN JOUR, J'AI FAILLI BOSSER AVEC JOSE-LUIS AGREDA ! Je lui avais présenté une histoire qui était la genèse de Klaw. Mais bien différente tout de même. Là encore, ce n'était pas le "bon moment". Le projet est tombé à l'eau... Il me reste tout de même un très agréable souvenir d'un début de collaboration intense et riche. 

[maj]

vendredi 29 novembre 2013

Tombés de camion (part 2).

A force de raconter ma vie (professionnelle), vous allez croire que j'ai un manque de bol phénoménal... Et pourtant, de mon point de vue, je me pense plutôt très chanceux. Et même s'il y a des projets qui tombent à l'eau, j'ai tout de même la chance de rencontrer de sacrés dessinateurs... 
Je me dis même qu'avec le temps on arrivera à se retrouver... 


Le projet d'aujourd'hui, prend racine en 2004, alors que je faisais atelier avec mon pote Vincent. Je m'étais dit que ça serait super de faire un collectif. Pour cela, j'avais en tête une histoire "fil rouge" qui amènerait chaque histoire courte avec douceur. J'ai donc tout écrit (sauf le fil rouge). La couleur de l'album était double : L'érotisme et le polar. Puis,  je suis parti à la recherche de dessinateurs en même temps que d'un éditeur. La réponse a été assez rapide : "les collectifs, ça ne se vend pas !" Ou alors il faudrait untel et untel...
Bref, je repars à zéro en repensant le projet pour un seul dessinateur. Cela me permet en même temps de redonner du volume à ce fil rouge qui devient une histoire moins prétexte. 
Au hasard du web, je tombe sur Patricio Betteo. Son dessin devient une évidence. Il commence à illustrer deux des histoires courtes. Et c'est la claque : refus de partout ! Là où je voyais une évidence, les autres y projettent leurs fantasmes de ce que doit être un dessin "érotique". Peu de temps après, je propose à Patricio de travailler sur un autre projet. Mais il est (encore !!!) parti vers d'autres aventures. 



Mais l'histoire ne s'arrête pas là. Quelques temps plus tard, un éditeur qui avait refusé le projet avec Patricio me propose de le relancer en cherchant un autre dessinateur. Ce projet, j'y crois. Donc j'accepte. On cherche, et ça devient un calvaire. Les types à qui je propose le projet ont tous autres choses à faire. Je tombe sur Andrea Spada. Il fait deux essais de graphismes... Mais ça ne convient pas à l'éditeur... Le cauchemar continue. Le projet devient une épine dans le pied. Je sens petit à petit que l'éditeur s’essouffle. Moi-même, j'ai envie de passer à autre chose. J'écris un autre projet pour Andrea... qui dit oui mais qui ne fera pas les planches... Il faut dire que sa carrière prend un sacré tournant et qu'il n'a plus le temps...

Mais l'histoire ne se termine pas là. Il y a un an, un nouvel éditeur prend contact avec moi et un dessinateur pour qu'on lui présente quelque chose. Et l'envie de relancer le projet me revient. Je fais lire le dossier à l'éditeur. Retravaille le bazar... Pendant ce temps, le nouveau dessinateur fait des pages. tout le monde est d'accord ! Faut juste que le big boss soit au diapason. Celui-ci aime mais doute. Il pense qu'on en vendra pas un ! Donc soit on ne le fait pas, soit l'avance sur droit ferait rire un type en fin de droit. Mais cette fois-ci, le dessinateur et moi repartons directement sur un autre projet qui se signera dans la foulée ! (je vous en parlerai bientôt).

Oui mais alors, ce projet? Eh bien, bizarrement, j'y crois encore. L'envie est toujours là. Et en revoyant ces trois essais, je me dis que l'idée d'en faire un collectif était vraiment bonne. On verra bien mais je suis sûr qu'on le sortira.

Un dernier mot? Oui, juste pour dire à Patricio et à Andrea : les mecs, c'est quand vous voulez ! Cela serait formidable de faire un projet avec vous...

jeudi 28 novembre 2013

Tombés du camion (part 1).


Au début 2007, j'ai comme une fulgurance : il faut raconter une BD sur la mine ! Un truc fort et social. Montrant l'amour et la douleur des types qui ne voyaient pas le jour. Tout de suite, je pense à un dessinateur pour mener à bien le projet : Jorge Gonzalez. A l'époque, il venait de publier Hate jazz. Nous rentrons en contact. Les première pages tombent... elles sont radicales. Trop? sans doute pour l'éditeur de l'époque. Le temps d'en trouver un autre (pas facile), Jorge est parti vers de nouvelles (et superbes) aventures.
De mon coté, j'ai trouvé un éditeur. Et une très belle idée : proposer le projet à mon ami Lelis qui termine notre premier projet commun, Last Bullets. La suite, je l'ai déjà raconté : on signe tardivement. Là encore, Lelis est parti faire un autre projet (toujours magnifique) mais je décide (et l'éditeur suit) d'attendre. Au moment où tout peut recommencer, j'apprends que Sergio Salma et J.L Loyer sont sur des projets assez proches. De quoi jeter l'éponge. Et puis non : je reprends l'écriture au début. Oui, il y aura la mine, oui, il y aura du social mais j'ai aussi une autre idée. Un truc rien qu'à moi ! L'histoire garde ses racines mais trouve sa propre voie...
Oui mais alors? Alors, je suis très content de ne pas avoir raconté la première version. Je suis aussi très content que Lelis soit sur le projet. C'est un type bourré de talent. J'espère que tout le monde s'en apercevra. Non, mon seul regret est de n'avoir pas réussi (encore) à travailler avec Jorge. 

lundi 11 novembre 2013

Révolution sur canapé !


En attendant notre nouveau super projet (voir post précédent), je ressors une page datant de 2007 (juste avant les élections). C'est le poto Bandini au dessin et moi à la couleur (et au scénar). On avait fait ça un peu comme ça. Sans réel projet pour la suite. Juste une envie de faire des pages de sentiments personnels...

mercredi 18 septembre 2013

From nowhere to nowhere...


Il y a quelques mois, un groupe, dont l'un des membres est un copain, m'a demandé de plancher sur la couverture de leur future galette. Malheureusement, ça ne s'est pas fait. Toujours est-il que je me suis remis à faire un peu de graphisme (comme dans le vieux temps)... Et que j'y ai pris un certain plaisir. Reste plus qu'à trouver une nouvelle opportunité...

mardi 18 juin 2013

Et des idées dans la suite (vide grenier like)



La suite du précédent message. vous vous souvenez de Pills avec Guillaume Singelin? Eh bien, pendant l'espace d'un instant, il y a eu un tome 2. J'en avais même fait l'annonce ici-même. Guillaume étant parti pour d'autres aventures, c'était Antoine Ettorri qui avait repris le crayon. De mon coté, comme j'avais reçu le contrat, je m'étais relancé à fond dans l'histoire de Medhi et ses amis. Trop content. Et puis, il y a eu ce fameux coup de fil dont je parlais la semaine dernière. "Oui, on t'a bien fait signer un contrat mais en fait non". Le fait que j'ai descendu la moitié de l'album ou qu'Antoine ait tombé 5 pages n'a pas pesé dans la balance.
Donc, le même mois (le même jour), je me suis retrouvé orphelin de 4 albums. Je ne m'en suis pas rendu compte tout de suite mais cela m'a blessé. D'autant plus qu'Antoine et moi n'avons pas transformé l'essai sur un autre projet. A l'époque, la seule chose que j'ai vu, c'est qu'il fallait rebondir vite (ce que j'ai fait). Aujourd'hui, je suis surtout en train de me demander comment faire pour que cette histoire existe. car à la relecture, elle vaut vraiment le coup...

Allez hop, le prochain message sera plus joyeux. Je vous montrerai les avancées d'un projet en cours...


vendredi 14 juin 2013

De la suite dans les idées (vide grenier revival)


Allez hop, on remonte le temps. Nous sommes au début de 2011, les trois tomes des Âmes Sèches vont bientôt sortir. Chez l'éditeur, tout le monde est très content. On commence à parler sérieusement d'une suite. Après tout, la série a été crée pour ça ! 
Dans les mois qui suivent, nous parlons de plus en plus d'une seconde saison. Je me mets un peu au travail. Je descends les trois synopsis des trois tomes suivants. Les Âmes Sèches, même si c'est de la fiction nécessite énormément de travail de documentation. Le but du jeu étant de jouer avec des dates bien réelles. Dans le même temps, je me mets à la recherche de trois nouveaux dessinateurs (ça aussi, c'était dans l'idée de base : chaque tome sera dessiné par un auteur différent). Bref, je passe pas mal de temps...
La suite coule de source, les synopsis sont validés, les dessinateurs font des essais... Les contrats sont lancés. 
Et puis? Et puis rien. D'un seul coup, l'éditeur en chef change d'idée ou d'envie : il n'y aura pas de seconde saison ! Le travail des dessinateurs? out ! Mon boulot à moi? out ! Peu importe que cela me mette mal vis à vis des mecs que j'ai contacté. Peu importe le temps perdu ou que j'ai refusé d'autres projets pensant ne pas avoir le temps de les faire... Sans compter la détérioration des relations avec le directeur de collection (qui lui était coincé entre moi et son chef)...
Bref, un grand gâchis !

Avec le recul, j'ai toujours un goût amer d'y avoir cru. Je veux dire, ça fait parti d'avoir des projets refusés. Tout autant que d'avoir des séries qui s'arrêtent. Mais là, c'est différent. La demande ne vient pas de moi pour ce second cycle ! 
Les choses positives, c'est que les dessinateurs avec qui je devais faire les bouquins se sont mis sur d'autres projets avec moi (du moins deux d'entre eux). Nous avons d'ailleurs signés avec le même directeur de collection...

Ci-dessus, vous pouvez voir les cinq planches du tome 5 des aventure d’Israël... Elles ont été réalisées par Olivier Bonhomme (le seul avec qui je n'ai pas réussi à retravailler. Mais j'espère !). 

jeudi 7 février 2013

Vide grenier (part 3).

Et hop, je boucle les épisodes "archives".
Last but not least, je vais vous parler de Jérôme Lebrun
C'est à l'époque de mes albums avec Benoît Laigle. un jour, il me dit "je viens te montrer les nouvelles pages. ça t'embête si je viens avec un pote?". il est donc arrivé avec "John". Un sacré loustic. Il avait un petit carton à dessin avec plein de trucs chouettes dedans. On a vite parlé de bosser ensemble. il a fait un essai sur King David mais ne s'est pas senti à l'aise... du coup, il m'a proposé de bosser sur un truc qu'il essayait de mettre en place. Il avait juste le nom, Raoul formica et un visuel (le petit chien). Je suis donc parti à monter un dossier. John a tombé 5 pages... On a présenté le tout et quelqu'un de chez Vents d'ouest nous a demandé des changements. Mais les changements ne sont jamais venus. Jérôme travaillait chez Disney et partageait son temps libre entre la BD et la musique (il tournait pas mal à l'époque). J'avoue ne pas avoir relancé Jérôme comme j'aurai dû. et le projet a sombré dans les oubliettes. 
Il y a peu, j'ai découvert que Jérôme avait ressorti nos persos du placard. Il termine actuellement un album avec eux chez Paquet. Les changements demandés à l'époque ont été fait ! C'est même plus beau que tout ce que j'aurai cru. Si vous voulez voir à quoi ça ressemble, allez ici.


Voilà. Je remets ces trois projets dans un carton. Ils appartiennent au passé. Depuis, je ne bosse plus du tout de la même façon. Et si j'ai encore de la tendresse pour ces trois histoires, c'est surtout parce qu'elles font parties de mon apprentissage. 

mercredi 6 février 2013

Vide grenier (part 2).


On continue de fouiller dans les archives...
Nous sommes deux ans plus tard. En parlant avec le collègue L.D., j'apprends que Casterman lance une nouvelle collection. Le Collègue en question me file le mail du nouvel éditeur. J'écris un petit mot rapide pour me présenter et le téléphone sonne même pas une demi-heure plus tard. C'est l'éditeur. On se parle beaucoup de notre vision du métier, de l'avenir de la BD et aussi de mes projets en cours. Trois dossiers sont totalement raccords avec sa vision, sa nouvelle collection. Le jour même, il acceptera ce qui deviendra Le chant des sabres. Puis les jours suivants, ça sera au tour de Face contre ciel et de ce Succombe qui doit que vous voyez ci-dessus. pourtant, l'album ne se fera pas. Le dessinateur, Laurent Houssin, trouvant l'avance sur droits proposée trop faible. 
C'est toujours un peu un coup de poker que de dire "non" en pensant que l'on va trouver mieux. A ce jeu, ce jour là, nous avons perdu. Plus personne n'a été intéressé. Du moins à ce tarif là. Je ne vous cache pas que ma relation avec Laurent s'est quelque peu décousue juste après. Je ne lui en veux pas. Il avait ses raisons et mieux vaut dire les choses franchement que de traîner pendant des années sur un projet. C'est juste super dommage.

Bon, je n'écrirai sans doute jamais une histoire sur le bagne (malgré la tonne de bouquins que j'ai acheté pour me documenter). je n'en ai plus vraiment l'envie. En revanche, j'ai garder le titre pour un autre projet !

Vide grenier (part 1)

Deux ans après mon emménagement, je vide encore des cartons...


Hier, je suis tombé sur des archives. Des dossiers sur des projets qui n'ont jamais vu le jour. J'estime ne pas avoir eu beaucoup de refus... Voici aujourd'hui le plus incompréhensible.
Nous sommes en 2004. Le tome 2 de Slender Fungus que je réalise avec Benoît Laigle vient de sortir. Les éditions Glénat nous annoncent (non sans mal) que nous ne ferons pas le tome 3. C'est un peu la cata. Il faut vite rebondir. Heureusement, Maroin eluasti et moi-même travaillons sur une BD pour les éditions Dupuis. Et là-bas, ça se passe bien. Il y a même cette directrice de collection que j'ai rencontré auparavant chez Delcourt et avec qui je m'entends très bien...
En moins de deux, j'écris une histoire d'un truc plutôt humoristique.  Benoît adapte son graphisme à l'histoire. On s'amuse bien à faire le dossier. On a même une super idée : plutôt qu'écrire un synopsis, on va faire des pages nous mettant en scène et où mon double expliquerait l'histoire.


Le dossier est envoyé à l'éditrice qui quelques temps plus tard me téléphone alors que je suis sous la douche. Elle est plutôt emballée par l'histoire. Le seul "hic", c'est qu'elle n'aime pas trop le dessin. J'en parle à Benoît. Il lâche l'affaire (il faut dire qu'entre temps, il a trouvé du boulot). Me voilà sans dessinateur. je pars à la recherche (en même temps que l'éditrice qui me propose d'ailleurs de chouettes noms). Alors que j'attends les essais d'un nouveau dessinateur, le couperet tombe : Dupuis se fait racheter. L'instant d'après l'éditrice quitte le navire. Et petit à petit le dossier sombre dans l'oublie.
Il faut dire que dans le même temps, Maroin et moi apprenons que notre projet n'intéresse plus la nouvelle équipe en place. La priorité est donc de trouver une nouvelle maison pour cette histoire là dont toutes les planches ont été dessinées.


 La fin de l'histoire ? Maroin et moi avons trouvé une maison pour Georges & moi. Benoît et moi avons tenté de monter deux autres projets par la suite. L'un s'est retrouvé dans la même situation. L'autre n'a jamais été montré. Je sais qu'il continue à faire des bds de son coté et j'espère un de ces quatre recroiser son chemin...
Pour ce projet que je vous montre aujourd'hui, je viens de le relire. L'histoire m'a bien fait marré mais je l'archive définitivement. En revanche, je trouve toujours que ces planches de synopsis sont une excellente idée. Cela permet par son originalité d'attirer l'oeil de l'éditeur qui ouvre le dossier. C'est sûr, je le referai.



jeudi 17 janvier 2013

Quand ça ne veut pas...


Un disque dur qui meurt, c'est toujours chiant. Heureusement, celui-là, c'était mon disque dur d'archive. Soit il y avait des projets bouclés et publiés, soit c'était des vieux trucs qui n'avait pas trouvé grâce aux yeux des éditeurs... En tentant de récupérer quelques petites choses, je suis tombé sur A.Ego, projet monté avec le camarade Alcino (qui depuis a repris son vrai nom : Nicolas Sauge). c'est marrant que le passé resurgisse ainsi. A.Ego a été un projet douloureux à mettre en place. L'idée de départ se transformant petit à petit vers autre chose. Le robot qui voulait être humain s'effaçant au profit d'une catastrophe naturelle... j'ai mis longtemps à comprendre qu'Alcino n'était pas (et ne serait jamais) d'accord avec ma vision de l'histoire. C'est un mec bien et je ne regrette pas d'avoir tenté le coup avec lui. Mais à l'époque, il me semble qu'il voulait plus être auteur complet et donc ne se sentait pas à l'aise pour partager le scénario.
Du coup, le projet était sans doute bancale. Et les éditeurs l'ont capté. Avec le recul, je dirais heureusement. je préfère encore mon idée de départ...
A.Ego a été la fin de mon apprentissage (du moins sur cette partie de mon métier). Depuis, je travaille différemment. 

Merci à Alcino et aux autres personnes ayant participé de près ou de loin au projet...


lundi 12 novembre 2012

Le doux art de l'oubli...



Il y a un an, Bandini et moi, nous nous lancions dans un western... Et puis, rien. Nous sommes passés tous les deux à autre chose. C'est bizarre, mais ça arrive.
En faisant le ménage sur mon disque dur, je suis retombé sur ces pages. Je me suis dit qu'il serait bête qu'elles ne soient jamais vues...
J'espère que cela vous fera patienter jusqu'au prochain projet que Bandini et moi réaliserons forcément un jour...